The African child’s right to education and the economic situation: What prospects

On the 16th of June every year, the African Union and its Partners celebrate the Day of the African Child (DAC), in commemoration of the 1976 protests by school children in Soweto, South Africa where students protested against an education designed to further the purposes of the apartheid regime. The brutal response of the apartheid security agencies to the unarmed students’ protests resulted in the death of a number of them. This protests contributed greatly to the eventual collapse of the apartheid regime. In 1991, the African Union Assembly passed a resolution designating 16 June as a Day for the celebration of the African child.

Celebrated this year under the theme: “A child friendly, quality education, free and compulsory for all children in Africa”, this event serves as an occasion to evaluate the distance covered so far by Africa in general, and Cameroon in particular in the domain of promotion and protection of the rights of children especially their right to education in line with all existing instruments.
Following the important place occupied by the child in every society, on the 20th of November 1989, the UN General Assembly adopted the convention on the rights of the child which entered into force on 2nd September 1990 thereby providing the international community with a legal instrument that was binding on state parties. On the 30th of September 1990, led by 71 heads of states and governments, the world summit for children convened at New York and adopted a series of goals for the year 2000 to improve the wellbeing of children and women. Two years later; in November 1992, African leaders reaffirmed this goals at the international conference on assistance to the African child in Dakar; Senegal and committed their countries to achieving the mid-decade goals as a necessary step to attaining the world summit goals. By February 1994, 23 countries in the West and Central African region had ratified the convention including Cameroon.
Clearly therefore, these governments committed themselves to an ambitious agenda for children thus, these series of events served as a motivating factor for Cameroon to ratify the convention on January 11th   1993.

Mbangassina : Le sous- préfet saccage une Eglise de réveil

Les dirigeants du plein évangile sont accusés de « non-respect des limites du culte et trouble de jouissance spirituelle » par le chef de terre de Mbangassina.

Le sujet continue à alimenter les débats au sein des populations de Voundou petit village commerçant situé à un cinquantaine de kilomètre environ du chef-lieu de l’arrondissement  de Mbangassina, département du Mbam et Kim région du Centre.

Il y a près d’un mois, le 25 avril précisément, le sous- préfet de cette unité administrative a ordonné la destruction du tabernacle de la « Mission du Plein Evangile » : motif avancé par Emile AchileMpandé : non-respect des limites du culte et trouble à la jouissance spirituelle.

 

HOMOSEXUELS : Leurs droits font polémique

Depuis quelque temps déjà, sur le fondement de l’universalité des droits de l’homme et de la nécessité de leur protection, les autorités camerounaises sont confrontées à un certain appel interne et externe à la reconnaissance des droits aux homosexuels. Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Issa Tchiroma Bakary condamne toute apologie de l’homosexualité.

Le débat sur la reconnaissance des droits aux minorités sexuelles encore dites Lesbians Gays Bisexuals and transexuals (LGBT) au Cameroun connaît en ce début de l’année 2014 un regain d’intérêt. Cette fois, le fait générateur est le programme « Reporter » diffusé par la chaîne de télévision française France 24, au courant du mois de janvier.  Sous le titre « Cameroun, le calvaire des homosexuels », cette enquête  laisse entendre que le Cameroun est l’un des Etat au monde où la répression de l’homosexualité est la plus ferme. « Mais c’est au Cameroun qu’il y a le plus d’homosexuels derrière les barreaux », explique le reporter dans l’émission. Ce reportage qui fait sortir le porte-parole du gouvernement camerounais, met  en exergue un Camerounais vivant à Paris. Ce dernier parle de l’"asile politique" qu’il demande à la France en confessant: « Je suis homosexuel et militant… J’ai décidé de quitter le Cameroun parce que cela devenait invivable… Aujourd’hui, je suis en France pour ma sécurité, parce que si je retourne au Cameroun, soit je vais en prison, soit je vais être tué ».

Impregnation: Les médias et l’Education à la paix et aux droits de l’homme

Le Cameroun abrité, du 26 au 28 novembre 2013, un séminaire sous régional sur l’Education à la paix et aux droits de l’homme à l’intention des professionnels de média des pays de l’Afrique centrale.

Le séminaire de sensibilisation et de renforcement des capacités des professionnels de média d’Afrique centrale qui s’est tenu durant trois jours  à Douala, a été organisé conjointement par le Centre  des Nations Unies pour les droits de l’homme et la démocratie en Afrique centrale (CNUDHD-AC) basé à Yaoundé au Cameroun et le Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (UNOCA), à Libreville au Gabon, avec l’appui technique de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC).
La cérémonie d’ouverture dudit séminaire était présidée par le ministre camerounais de la Communication, M. Issa Tchiroma Bakary. Lequel n’a pas manqué dans son allocution de souligner la portée de ce séminaire : « Chers participants, la thématique autour de la quelle  vos travaux vont s’articuler porte donc sur l’Education à la paix et aux droits de l’homme. Il s’agit d’une thématique d’une actualité brûlante, au regard des différents conflits et autres foyers d’instabilité  auxquels notre continent doit malheureusement faire face, sous de formes diverses, mais un peu partout et de façon quasi permanente sur l’étendue de son territoire. Il n’est un secret pour personne que le continent africain demeure  en effet miné par de nombreuses guerres à l’origine de graves violations de droits de l’homme. S’agissant de l’Afrique centrale en particulier, la situation politique et sécuritaire comporte par endroits d’importants défis pour la promotion d’une paix durable et la consolidation de la démocratie. Dans un tel contexte, le rôle de la presse devient encore plus déterminant qu’il ne l’est, en temps ou en situation normale ».

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