Personnes handicapées : L’accessibilité aux édifices, d’un droit à une priorité

Cinq ministres ont procédé le 16 juillet 2013 à Yaoundé, sous la houlette de la ministre des Affaires Sociales (Minas), Mme Cathérine Bakang Mbock, à la signature d’une lettre-circulaire interministérielle en faveur de l’accès des personnes vivant avec le handicap aux édifices.

C’est un atelier sur l’appropriation du guide pratique d’accessibilité des personnes handicapées aux édifices publics ou ouverts au public qui a servi de cadre à la signature de la lettre-circulaire interministérielle relative à la facilitation de l’accessibilité ou à mobilité réduite dans l’environnement bâti. Pour l’occasion, cinq chefs de départements ministériels  ont pris part à la signature, la ministre des Affaires Sociales (Minas), Mme Catherine Bakang Mbock, le ministre de Développement Humain et de l’Habitat (Minduh), M. Jean Claude Mbwentchou, le ministre des Travaux Publics (Mintp), M. Amba Salla, le ministre de la Santé Publique, M. André Mama Fouda et le ministre des Marchés Publics, M. Abba Sadou.

Il était surtout question dans cette lettre-circulaire de rappeler aux différents acteurs intervenant dans les infrastructures publiques ou ouvertes au public toutes les difficultés que les personnes vivant avec le handicap connaissent aujourd’hui pour avoir accès à ces lieux.

La Cour Pénale Internationale (CPI) et le principe de la complémentarité

Le Vendredi 19 juillet 2013 à 10 heures dans la salle polyvalente du Centre CFVM de Damasse (à côté du Collège FRAZATI, 300m du Rond point, route Edzoa), Yaoundé, Cameroun

RAPPORT

Le vendredi, 19 juillet 2013, s’est tenue dans la salle polyvalente du Centre CFVM quartier Damasse, Yaoundé (Cameroun), la Conférence-débat sur le thème :  ’La Cour Pénale Internationale (CPI) et le principe de la complémentarité’’. Cette activité s’inscrivait dans le cadre de la célébration de la journée de la justice internationale qui se fête le 17 juillet de chaque année.  Cette conférence a connu la présence de 23 participantes et participants (représentantes et représentants des organisations de la société civile, universitaires, avocat et  le Représentant de la Commission nationale des droits de l’homme et des libertés (CNDHL) du Cameroun. Cet événement a été couvert par les médias nationaux. Notamment la presse  écrite et électronique (le quotidien Le Messager et Africa infos : http://africa-info.org/societe/5257-afrique-cameroun-la-cour-penale-internationale-vue-par-afrique-justice.html)

ENTREPRISEs ET DROITS DE L’HOMME : Les médias mis à contribution

Le Centre des Nations Unies pour les droits de l’Homme et la Démocratie en Afrique Centrale (CNUDHD-AC) a procédé le 31 janvier 2013 à Yaoundé, au débriefing annuel des journalistes. La rencontre de cette année est revenue sur les principes et les mécanismes internationaux et nationaux de protection et de promotion des droits de l’Homme au sein et par les entreprises, appelé cadre RUGGIE et le rôle des médias.

Que faire et que prévoit le droit international, lorsque les droits des travailleurs sont violés par une entreprise multinationale?  La question se pose, car aujourd’hui, avec la mondialisation, les activités des entreprises, surtout celles transfrontalières ont des incidences sur les droits de l’Homme. Cette sentence apparemment anodine cache une réalité très sérieuse. C’est en considération de cette importance que le Centre des Nations Unies pour les droits de l’Homme et la Démocratie en Afrique Centrale (CNUDHD-AC), de concert avec la Commission Nationale des Droits de l’Homme et des Libertés  (CNDHL) a tenu à sensibiliser et informer des journalistes sur le cadre « RUGGIE », du nom éponyme du représentant spécial du Secrétariat général chargé de la question des droits de l’homme John Ruggie, un corpus de principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme. C’est la mise en œuvre du cadre de référence « Protéger, respecter et réparer ». Le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies a adopté le cadre RUGGIE en 2011.Ledit cadre entend  exhorter les Etats à protéger les droits de l’Homme, les entreprises notamment les multinationales à les respecter et aussi à veiller à ce que les personnes victimes des atteintes commises par les entreprises puissent avoir accès à un recours effectif. La présentation du cadre  RUGGIE a été faite par la chargée de programme du CNUDHD- AC,  Mme Dorothée Ndoh Onguene.

Violence against women: By Navi Pillay the UN High Commissioner for Human Rights on International Women’s Day 8 March 2013

Last month, in the highlands of Papua New Guinea, a 20-year old mother of two was stripped naked and tortured until she confessed to practising sorcery. Then she was burned alive on the local rubbish dump in front of a crowd of fellow villagers.

Although horrific, this event was not unusual. The Constitutional and Law Reform Commission of Papua New Guinea has estimated that as many as 150 people accused of sorcery — mostly women — are murdered every year in just one of the country's 20 provinces. Before they are killed, many suffer prolonged, public and often sexual torture. Two things made last month’s murder exceptional: it led to public outrage, and two alleged perpetrators have been arrested.

Last month, three sisters aged 5, 9 and 11 living in a remote Indian village were raped, killed and flung down a well. Initially the authorities failed to react -- but after villagers blocked a highway in protest, the police belatedly began an investigation.

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