Sénat : Niat, président élu

Le Sénat a tenu  une session de plein droit  le 13  juin 2013 au cours de laquelle le  bureau a été élu, le président aussi.

«  J’ai l’honneur de proposer la candidature de M. Niat Njifenji Marcel. »  C’est en ces termes  du président du groupe parlementaire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (Rdpc) au Senat, M. Peter Mafany Mussongué que le pan de voile qui enveloppait le nom du candidat à la présidence du Sénat choisi par le parti au pouvoir est tombé.  Le vote du président du Sénat a débuté à 17 h dans  un hémicycle de Ngoa Ekellé qui attendait 100 sénateurs et qui en a  reçu  86, 14 sièges devant lesquels des bristols portant des noms de sénateurs  du Social Démocratique Front (SDF) étant restés vides jusqu’au début du scrutin. C’est donc 100 sénateurs qui ont procédé à l’élection du premier président du sénat. L’échéance semblait pliée d’avance dans la mesure où, à la candidature proposée par le président du groupe Rdpc, personne d’autre ne s’est proposé comme adversaire ou concurrent. Après le dépouillement effectué par deux sénateurs désignés par le doyen d’âge Chief Mukété, le sénateur  Marcel Niat Njifenji a reçu 86 voix contre 14 bulletins vierges. Sur ces entrefaites, le doyen d’âge, a procédé à l’annonce officielle des résultats avant de quitter l’estrade en compagnie des autres membres du bureau d’âge qui, jusque là, avait présidé la séance.

Entreprenariat: la Semaine du polytechnicien

L’Ecole Nationale Supérieure de Polytechnique (ENSP) de Yaoundé, a organisé du 26 au 29 juin, sa semaine du polytechnicien 2013.

L’édition de l’année 2013 s’est tenue sur le thème « l’énergie à la base de l’émergence du Cameroun en 2035 : quel rôle pour l’ingénieur polytechnicien ?».Cette initiative s’est déroulée sous le parrainage du professeur Chrispin Pettang, ingénieur polytechnicien et enseignant chercheur, avec le sponsoring officiel de Electricity Development Corporation(EDC). Comme grandes articulations de ladite semaine, l’on a deux grandes conférences / débats, des journées portes ouvertes au bénéfice des élèves des classes de terminale qui aspirent à devenir ingénieur, activités sportives et culturelles et une soirée de gala.

Société : l’UNESCO au chevet des jeunes de la CEEAC

Du 11 au 14 juin 2013, l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO) a coordonné à Yaoundé, un atelier régional d’évaluation des besoins des jeunes en insertion socio-économique à partir des TIC, dans les pays de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC).

Huit pays ont répondu présents. Les experts sont venus du Cameroun, du Burundi, du Tchad, du Gabon, de la République Centrafricaine (RCA), du Congo Brazzaville, de la Guinée Equatoriale et de la République Démocratique du Congo (RDC). Cette rencontre a permis de définir de manière consensuelle et participative, sur la base d’une évaluation des besoins, un plan de renforcement des capacités des structures d’accompagnement des jeunes en  insertion socio-économique à partir des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). En effet, le constat fait est que les TIC n’étant pas pris en compte pour l’épanouissement de la jeunesse  dans les pays de la CEEAC. C’est ainsi que, lors du partage d’expériences, plusieurs pays ont semblé se rejoindre dans leur stratégie de développement pour l’insertion socio-économique de la jeunesse. Au Cameroun, plusieurs programmes et projets dont l’objectif est l’accompagnement des jeunes en insertion socio-économique, ont été mis en œuvre. Il s’agit, du Programme d’Appui à la Jeunesse Rurale et Urbaine (PAJER-U), du Projet d’Insertion socio-économique des jeunes par la création de micro-entreprises de Fabrication du Matériel Sportif (PIFMAS), de l’Agence du Service Civique National de Participation au Développement, le Fonds d’Insertion des Jeunes (FIJ), les Centres Multifonctionnels de Promotion des Jeunes (CMPJ), du Programme d’Appui et d’Installation des Jeunes Agriculteurs (PAIJA) et le Programme d’Appui et le Développement des Emplois Ruraux (PADER). Ces initiatives démontrent à suffisance, la volonté du gouvernement camerounais de lutter contre le chômage et la pauvreté chez les jeunes. Le Congo Brazzaville est en reconstruction de son processus d’insertion des jeunes, à cause des troubles connus par le pays ces dernières années. D’ailleurs, les exposants ont souligné que « l’une des étapes de ce processus a été la création d’un Haut Commissariat des ex-combattants ». Le Gabon quant à lui met en place un certain nombre d’outils, notamment la création de la Direction Générale de l’Insertion et de la Réinsertion, la création de plate-forme « Job Gabon », la création des maisons des jeunes ou encore  l’octroi des financements pour micro-projets des jeunes par les ambassades de France et des Etats Unis. Au Tchad, l’Etat met en œuvre quelques stratégies d’insertion, en l’occurrence de la création des départements ministériels en charge des questions d’encadrement, de formation et d’emploi des jeunes. Les exposants ont indiqué qu’il existe un projet de TIC développé dans les établissements d’enseignement secondaire. Cependant, ils ont précisé que « le Tchad dispose de moyens et attend des pays plus expérimentés, un véritable partage d’expérience allant dans le sens de l’utilisation de ces moyens dans le cadre de l’insertion socioéconomique des jeunes de son pays ». la Guinée Equatoriale de son côté, a mis en place des mécanismes d’insertion socio professionnelle à travers la création des structures de formation des jeunes ; la création d’un Parlement de la jeunesse pour faire respecter les droits des travailleurs et la ratification des accords avec les institutions en charge de l’insertion socio-économique des jeunes. Le Burundi a créé deux départements ministériels chargés de l’encadrement de la jeunesse. Il s’agit d’une part du ministère de l’Education de Base, de l’Enseignement de Base et Secondaire, de l’Enseignement des Métiers, de la Formation Professionnelle et de l’Alphabétisation. Et d’autre part, du ministère de la jeunesse et des Sports et de la Culture.

Education : le MINJEC en possession de « son » référentiel

La remise officielle du Référentiel National de l’Education Civique et de l’Intégration Nationale (RNECIN) s’est tenue le 13 juin 2013, à la salle de conférence du ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique (MINJEC).

L’élaboration du RNECIN s’est faite par le cabinet AGORA. Au cours de sa présentation, le directeur associé du cabinet a défini le civisme comme étant, « une valeur civilisatrice qui se vit au quotidien des peuples ; il est la marque d’une appartenance à une collectivité, au service d’une même nation ou de mêmes idéaux ». A cet égard, l’éducation civique est le fait d’amener les citoyens à développer par eux-mêmes le sens de la citoyenneté pour le bien propre, celui de la société à laquelle ils appartiennent et celui de l’Etat dans lequel ils vivent. Dès lors, dans sa volonté de communiquer à tout citoyen camerounais ou non, le sens du respect des valeurs morales, le ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique (MINJEC) par le biais de son chef de Département, M. Ismaël Bidoung Mkpatt, a recommandé la conception d’un RNECIN. Ceci, pour répondre « au souci de promouvoir dans notre société, un réajustement progressif de l’échelle des valeurs et des règles prioritaires qui doivent régir le vivre-ensemble », a souligné le MINJEC. Selon le pédagogue, l’on constate une perte totale de repères civiques et moraux aussi bien dans les milieux jeunes que dans l’ensemble du corps social. C’est alors que, cette situation affecte profondément la société camerounaise et hypothèque ses efforts de développement dans la paix. « D’où l’urgence de mettre en œuvre un corpus articulé et cohérent de compétences, de domaines et champs d’intérêt, d’agir compétent ainsi que de lieux et d’agents d’éducation qui couvrent le système éducatif formel, allant de la maternelle au supérieur et le système extrascolaire non formel et informel », a expliqué le MINJEC. Selon lui, ce corpus doit également procurer le savoir-être, le savoir-faire, et le savoir-devenir qui constituent les bases d’un vivre ensemble national intégrant les valeurs communes à tous, mais aussi les spécificités de chacun. En effet, la réception du Référentiel National de l’Education Civique et de l’Intégration Nationale est une étape importante de la parturition du processus d’encadrement civique et de promotion de l’intégration nationale des populations.

MEDIAS : Les journalistes francophones à l’école des TIC

Les journalistes membres de la section camerounaise de l’Union Internationale de la Presse Francophone (UPF) ont  reçu, le 14 juin 2013, à l’Institut Africain de l’Informatique (IAI), des attestations de fin de formation en Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).

La tradition à l’IAI Cameroun, a expliqué le représentant résident, chef d’établissement de l’IAI- Cameroun, M. Armand Claude Abanda, est que « chaque cuvée est promotion d’une personnalité forte et pour  cette fois,  cette promotion  est baptisée « Bruno Gain »,  du nom de l’ambassadeur de  France au Cameroun ».  La cuvée d’apprenants, qui a reçu le 14 juin des parchemins de fin de formation en TIC, comptait  53 journalistes francophones tous membres de l’UPF- Cameroun. En plus du diplomate français et du représentant résident,  M. Armand Claude Abanda, le préfet de la Mefou et Afamba a rehaussé par sa présence cette cérémonie de remise d’attestations de fin de formation. C’est à la faveur d’un  partenariat qui lie l’IAI, désormais baptisée Centre d’excellence technologique Paul Biya, à la section Camerounaise de l’UPF que cette formation s’est déroulée durant quatre mois.

Santé : le CHE lance deux nouveaux projets

Les projets « Contribuer à Réduire la Mortalité de l’Enfant » (CREME) et « Soutien Enfance Cameroun » (SEC) ont été présentés le 12 juin 2013, au Centre Hospitalier d’Essos (CHE).

« Eliminer les pratiques, consiste pour l’Etat de marquer un temps d’arrêt sur la situation de l’enfant », a relevé le directeur général du CHE, Dr. Caroline Edjangue. L’occasion lui a été donnée de s’exprimer au cours de cette cérémonie, en prélude a la 23ème Journée de l’Enfant Africain, qui s’est célébrée le 16 juin 2013, sous le thème : « éliminer les pratiques sociales et culturelles néfastes affectant les enfants : notre responsabilité collectives ». Le Docteur a  évoqué le problème de malnutrition qui affecte le développement de l’enfant. Ainsi, elle a salué l’initiative de Docteur Annette Esther Njom et de Mme Chantale Same Ekobo. Respectivement promotrice des projets CREME et SEC.  En effet, le projet CREME, à en croire Dr. Annette Esther Njom, a pour objectif de réduire la mortalité de l’enfant en général et du nouveau né en particulier. Le projet est en partenariat avec l’Association Camerounaise d’Aide aux Personnes et Familles Affectée par le VIH/SIDA (ACAPFAS). Association logée au sein du CHE. En mettant l’accent sur les stratégies mises sur pied, Dr. Annette Esther Njom a souligné que : « le projet base son arrêt sur les données de la dernière enquête de santé selon laquelle, un enfant sur deux décède au Cameroun avant l’âge de un an. Il décède au cours du premier mois de vie, donc est un nouveau né ». De ce point de vue, l’intervention du projet est basée sur trois programmes majeurs. D’abord, la lutte contre la souffrance du nouveau né à la naissance ; donc le meilleur accueil du nouveau né par les prestataires formés à la réanimation du nouveau né en salle de naissance. La seconde stratégie vise à lutter contre la prématurité de petit poids de naissance. Pour empêcher qu’ils décèdent prématurément, ces prématurés vont bénéficier de l’initiative « Mère Kangourou », qui consiste à mettre l’enfant contre la peau de la maman ; ceci, afin de palier au déficit de couveuses et d’incubateurs que connait le contexte hospitalier de la société. Enfin, la réduction de l’infection néonatale en général et surtout, l’élimination de la transmission de la mère a l’enfant du VIH/SIDA. Parallèlement à ce plan de stratégie, il y a aussi une formation appelée « Bébé Anne ». Elle consiste à pratiquer des exercices simulés de réanimation sur des poupées siliconées. Cette formation a lieu en moyenne une fois par mois, elle va s’étendre sur 10 mois. Elle concerne le corps médical, les étudiants en médecine et les mamans. Actuellement, 270 personnels en poste ont déjà été formés. La promotrice du projet CREME a souligné le partenariat avec la mairie de Yaoundé V, « nous allons mettre en place un système de consultation pédiatrique systématique de tout les nouveaux nés qui se sont fait déclarés à la dite mairie avant la fin du premier mois de vie, pour qu’ils bénéficient des soins de qualités dans le cadre de ce partenariat ».

CNPS: Communique RADIO-PRESSE

DIRECTION REGIONALE CENTRE-SUD-EST

CENTRE DE PREVOYANCE SOCIALE DE MESSA-SI

 

Communique RADIO-PRESSE

 

Le chef de Centre de Prévoyance Sociale de Messa-si a l’honneur d’inviter les bénéficiaires des prestations sociales dont les noms suivent à bien vouloir se présenter au centre pour affaire urgente les concernant. Il s’agit de :

Medias : Bilan à mi-parcours pour l’UPF Cameroun

L’Union Internationale pour la presse francophone (UPF) du Cameroun a tenu le vendredi 7 juin à Yaoundé, une assemblée générale pour faire le point…

Dès son propos liminaire à l’unique assemblée générale annuelle  de l’UPF comptant pour l’année 2013, le président de la représentation camerounaise de ce regroupement d’hommes de médias, le journaliste Aimé Robert Bihina, a tenu à préciser le contexte des assises. Il s’agit, a-t-il précisé, de faire l’état des activités menées dans le cadre du mandat de son équipe dirigeante. D’emblée, il a souligné en répondant à la question « qu’avons-nous fait ? », que « nous ne sommes pas tournés les pouces »Pour défendre ce bilan dressé au milieu d’une mandature de deux années, le secrétaire général de l’UPF Cameroun, Parfait Siki, son adjoint Janvier Ndikam, ont pris part aux travaux. On a également pu remarquer la présence du trésorier général William Balla, ou de son adjointe Dorine Ekoué.

Culture: le MINAC élabore sa stratégie de développement

La centrale de lecture publique de Yaoundé a abrité le 10 juin 2013, la cérémonie de lancement officiel de l’élaboration de la stratégie de développement du sous-secteur Art et Culture.

« L’activité qui est mise sur les rails ce jour, constitue l’une des actions prioritaires de la feuille de route de mon département ministériel », a déclaré le ministre des Arts et de la Culture, Mme Ama Tutu Muna. En effet, le ministère des Arts et de la Culture (MINAC) a entrepris depuis quelques temps  la définition d’une stratégie de développement, prenant en compte les besoins profonds des bénéficiaires des politiques publiques en la matière. En d’autres termes, cette manœuvre devra tenir compte de toutes les parties prenantes en matière de développement culturel au Cameroun. Pour le MINAC, « cela se fait en conformité avec les orientations stratégiques fixées par la vision de développement à long terme, le Document de Stratégie pour la Croissance et l’Emploi (DSCE) et la stratégie sectorielle de développement des services sociaux ». Dès lors, à en croire Mme Ama Tutu Muna, la richesse culturelle du Cameroun, l’immensité du talent artistique et les conditions de paix et de stabilité de notre pays, démontrent que le sous-secteur Art et Culture est l’une des pistes à explorer pour le développement intégral des Camerounais. Il est question au moyen de cette entremise, de relever une offre culturelle nationale fortement illustrée par des initiatives individuelles en quête de ressources. De ce fait, l’importance d’une telle activité n’est plus à démontrer. D’ailleurs, le MINAC a appelé « à la contribution de tous les acteurs œuvrant dans le domaine des Arts et de la Culture afin de pouvoir, tel un médecin, ausculter ce patient qui nous  tient tous à cœur et dont la bonne santé et la bonne marche permettra de le rendre plus attrayant. »

SANTE : UBIPHARM renforce le MINSANTE d’un matériel de pointe !

C’est à la faveur d’une remise de dons que, le 07 juin 2013, la société UBIPHARM CAMEROUN S.A a déposé des consommables au ministère de la Santé Publique (MINSANTE).

10.000.000 FCFA, c’est la valeur du matériel médical offert. Cette donation représente la contribution de la société pharmaceutique UBIPHARM CAMEROUN S.A, dans le cadre de la Campagne pour l’Accélération de la Réduction de la Mortalité Maternelle et Infantile (CARMMA). La société pharmaceutique est soucieuse de la santé publique et axe particulièrement son cheval de bataille sur la santé de la mère et de l’enfant. Elle veut ainsi participer au recul de la mortalité maternelle et infantile. Dans cette optique, le président du conseil d’administration, Dr. Marie- Florence Ngo Yinga, souligne que, « ce matériel médical est composé essentiellement des stéthoscopes, sondes pédiatriques, compresses, bandes cohésives et bandes de gaze. » Du côté du ministère de la Santé Publique, cette action vient consolider le partenariat Public-Privé, initié le 08 mai 2010 au Cameroun. Car ceci permet au gouvernement d’être épaulé dans ses différents combats sur la santé, en termes d’équipements techniques ou matériels. D’ailleurs, selon l’inspecteur général au MINSANTE, point focal CARMMA, Mme Marina Baye,  il y a un problème de l’offre de santé d’une part. L’inspecteur général explique que : « pour mener à bien un accouchement, il faut un minimum d’équipements. Ceci va en droite ligne de ce que nous avons eu aujourd’hui. » Toujours selon le point focal CARMMA de l’autre côté, il y a la demande ; plusieurs cas de décès de femmes et d’enfants sont recensés au Cameroun. Ceci se justifie par le fait que « beaucoup d’accouchements se déroulent à la maison ». Ainsi, par cette initiative CARMMA, les femmes doivent comprendre les dangers qu’elles courent en ne se rendant pas aux institutions sanitaires appropriées.

Environnement : promouvoir une consommation durable

La cérémonie de célébration de la 41ème édition de la Journée mondiale de l’environnement a été présidée le 05 juin 2013 au Palais des Congrès, par le ministre de l’Environnement, de la Protection de la nature et du Développement Durable (MINEPDED), M. Pierre Hele.

« Pensez, mangez, préservez », c’est le thème retenu pour cette édition par le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE). Ainsi, selon le MINEPDED, M. Pierre Hele,  « la communauté internationale et l’Afrique en particulier se mobilisent pour mettre en œuvre les stratégies, les plans et programmes existants pour faire front commun en vue de l’émergence et de  l’ancrage des modes de production et de consommation durables et de protection de l’environnement ». A en croire le (PNUE), « Pensez, Mangez, Préservez » est une campagne contre le gaspillage et la perte alimentaire qui a pour objectifs d’encourager les citoyens à réduire leur empreinte écologique, de les rendre plus conscients de l’impact environnemental de leurs choix alimentaires. C’est dans cet élan qu’au Cameroun, plusieurs activités ont été effectuées. Notamment la sensibilisation sur le gaspillage alimentaire, les concours de danse, de poèmes, et de question sur l’éducation environnementale. Il était question d’intégrer dans la mentalité de tous et de chacun, la notion d’économie des aliments. D’où le thème au niveau national, «Pensez, mangez, préservez : dites non au gaspillage ». Ceci transmet la volonté du gouvernement d’inculquer aux citoyens la préservation de la nature. C’est ainsi qu’il a été demandé aux entreprises de ne produire que la quantité nécessaire à la consommation de la population nationale. Car en effet, le monde produit plus qu’il ne consomme. C’est dans cet ordre d’idées que, les entreprises alimentaires ont été exhortées par le PNUE, à réviser leur projet de rejet. Car, après enquêtes de ce même Programme, 1,3 milliard de tonnes de nourriture est gaspillé par an dans le monde.

BEPC : cas de fraudes enregistrés

La session 2013 du brevet d’étude du premier cycle (Bepc) ne se passe pas sans trouble au lycée bilingue de Foumbot. Bibianne Kontchou, 18 ans, élève en Terminale A au lycée bilingue de Bafoussam, Mero Issa Flore, 20 ans, et Sylvain Koudjouk, 29 ans, étudiant en Master I des sciences naturelles à l’Université de Dschang, ont été interpellés mardi 4 juin 2013, au sous-centre du lycée bilingue de Foumbot, dans le département du Noun, Région de l’Ouest Cameroun. Ils ont été pris alors qu’ils passaient des épreuves de mathématiques en lieu et place des candidats régulièrement inscrits sous le couvert de trois collèges privés de la place. Ils sont actuellement gardés à vue au commissariat de sécurité publique de Foumbot. Par ailleurs, la suite de l’examen se déroule harmonieusement dans ce sous-centre.

Huissier de justice : Célébration de la 6ème journée mondiale

Ce jeudi 6 Juin 2013, les huissiers de justice du Cameroun se joignent à la communauté des huissiers du monde pour   célébrer la 6ème édition de la journée mondiale de l’huissier de justice.

Cette édition est placée sous le thème : « l’huissier de justice : l’interface légale entre les justiciables ». Le corps des huissiers est l’une des corporations judicaires les plus importantes et les plus influentes au monde. De ce fait, 71 pays disposent d’un regroupement des huissiers de justice. Les huissiers de justice sont les acteurs sans qui la pièce judiciaire n’aurait pas de fin. Cette définition a une double signification: d’une part, ils sont ceux par qui le conflit trouve une solution hors le théâtre des prétoires. D’autre part, leur intervention se situe en toute fin de la chaîne processuelle ainsi, ils seraient donc pour le justiciable le dernier maillon des interventions judiciaires. Toutefois, dans les deux cas, ils sont les interlocuteurs des justiciables qui voient en eux le dénouement volontaire ou forcé des conflits juridiques qui les tourmentent. La profession des huissiers de justice est réglementée par le décret n° 85/238  du 22 février 1985 portant réglementation des fonctions et fixant le statut des huissiers. C’est ainsi que, dans son article 1er, il ressort que les huissiers de justice sont des officiers ministériels qui ont qualité pour :

Sécurité au travail : La CNPS à la tète de l’IAPRP

L’inter Africaine de Prévention des risques professionnels (IAPRP) a tenu une assemblée générale ordinaire du 22 au 24 mai 2013, dans la salle de conférence de la CNPS de Yaoundé.

La Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS) du Cameroun a accueilli l’assemblée générale de l’IAPRP. La Cérémonie d’ouverture des travaux de cette assemblée ordinaire que présidait la Directrice de la Sécurité Sociale du ministère du Travail et de la Sécurité Sociale, Mme Gernique Bouba, en lieu et place du ministre Grégoire Owona, s’est déroulée  dans une salle de conférence de la CNPS bondée. Ils sont venus de plusieurs pays d’Afrique, francophones comme lusophones, pour prendre par à cette assemblée qui était également l’occasion de la passation de pouvoir, pour un an, de la présidence de l’IAPRP. On a donc pu noter la présence des représentants de l’organisme gabonais de la sécurité sociale ou encore ceux de la Mauritanie, qui venaient de faire acte d’adhésion.

Forêts : Le CIFOR fait le point 20 ans après

Le Centre International de Recherche sur les Forêts (CIFOR) dresse un état de lieu des forêts dans le Bassin du Congo, les 22 et 23 mai 2013 à l’hôtel Hilton de Yaoundé.

«  La gestion durable des forêts d’Afrique Centrale ; hier, aujourd’hui et demain » est la toile de fond qui a réuni le CIFOR et ses différents collaborateurs notamment, le ministère des Forêts et de la Faune (MINFOF), la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) et plusieurs chercheurs et observateurs indépendants de l’environnement et des forêts. Au cours de son propos d’ouverture de la conférence, le ministre des Forêts et de la Faune (MINFOF), M. Philip Ngolè Ngwesse est revenu sur les atouts que présente le Bassin du Congo en termes de biodiversité. De ce fait, le  Cameroun a une spécificité de par sa faune et sa flore ; en espèces et en genre. C’est ainsi que cette « Afrique en miniature » dénombre 1000 espèces végétales. Dès lors, l’importance de la préservation des forêts dans le Bassin du Congo est à souligner car, à en croire le MINFOF, cette action a favorisé la création de 150 000 emplois. Cette initiative est à ajouter à celle de la création et de l’implantation de diverses structures de lutte contre la déforestation en Afrique tropicale.

Santé : le 23 mai désormais Journée Internationale pour l’élimination de la Fistule Obstétricale

C’est à la faveur d’un point de presse conjointement donné par le ministère de la Promotion de la Femme et de la Famille (MINPROFF) et le ministère de la Santé Publique (MINSANTE) que, l’annonce a été faite le 23 mai 2013 à la salle de conférence de la délégation régionale du centre du MINPROFF.

«  La journée internationale pour l’élimination de la fistule obstétricale traduit la conscience qu’ont les Etats, de nombreuses conséquences néfastes que cette pathologie a sur les femmes et les filles », a souligné le ministre de la Promotion de la Femme et de la Famille (MINPROFF), Mme Marie Thérèse Abena Ondoua, lors de son propos introductif. Selon le MINPROFF, le Cameroun est signataire de la résolution 67/L. 22/Rev. de l’Assemblée générale des Nations Unies, lors de sa 67e session du 20 décembre 2012. Ceci justifierait cette première édition tenue à Yaoundé, au Cameroun. De ce fait, la fistule obstétricale est une complication qui survient en général lors d’un accouchement prolongé sans assistance médicale. Dès lors, le point de presse conjointement organisé par l’administration en charge de la Promotion de la Femme et de la Famille et celle responsable de la Santé Publique, en partenariat avec le Fonds des Nations Unis pour la Population (UNFPA) s’est inscrit dans la double perspective. Prétexte était donné au lancement national des activités marquant cette journée, et à la poursuite des actions de mobilisation sociale pour la lutte contre cette pathologie.

20 mai 2013 : paix et sécurité au service de l’émergence du Cameroun

Le Cameroun célèbre ce jour, le 41e anniversaire de l’Etat unitaire. La cérémonie était articulée en deux temps, un défilé militaire, suivi du défilé civil sur fond  d’un sénat porté sur des fonds baptismaux.

« Armée et Nation, ensemble pour relever les défis sécuritaires pour un Cameroun émergent », tel est le thème qui a servi du cadre pour célébrer la 41e fête de l’Etat unitaire. Dès 8 heures, ce matin au boulevard, les invités commencent à prendre place dans les tribunes, les limousines  arrivent par vagues successives. Tandis, que les le public prend position tout autour du boulevard. C’est un 20 mai pas comme les autres. Une pierre de plus a été placée dans  l’édifice constitutionnel.  Le Sénat a fait son entrée au Parlement, d’où, la présence, à la tribune présidentielle, aux côtés du chef de l’Etat., de fon Victor Mukete, le doyen d’âge du Sénat, bon pied, bon œil, est  chaleureusement accueilli par la tribune. l y a également la présence des invités spéciaux du chef de l’Etat : Edem Kodjo, de l’Union Africaine, Le major  Général  Aoudou, représentant- du chef d’Etat Major  du Nigérian entre autres.

Autoroute Douala-Yaoundé : Le comité de pilotage table sur le lancement des travaux

La deuxième session de pilotage du projet de construction  de l’autoroute Yaoundé-Douala  s’est tenue le vendredi 17 mai 2013 au Palais des Congrès.

Après la première session qui s’est tenue le 7 décembre 2012, le Comité de pilotage, s’est de nouveau réuni pour tabler cette fois sur «   lesmodalités de démarrage effectif des travaux sur les 10 premiers kilomètres, l’indemnisation des populations sur cette emprise »   comme l’a  déclaré, le président dudit Comité, le ministre des Travaux Publics, M. Patrice Amba Salla, à la faveur de son mot d’ouverture des travaux.  C’est en la présence des ministres des Petites et Moyennes Entreprises, Laurent Serge Etoundi Ngoa et celui du Développement Urbain et de l’Habitat, M. Jean Claude Mbwentchou , que le président du comité a tenu à rappeler la nécessité qu’il y a à ce que toutes les parties au projet travaillent en synergie.

Cette deuxième session était l’occasion de procéder à une évaluation de l’avancement de la société chinoise, First Highway Engineering Company (CFHC) sur le terrain.  Sur ce point, le ministre en charge des travaux Publics a assuré les membres du comité sur  « une avancée significative » du projet. Par ailleurs, la session se posait comme l’endroit pour statuer sur l’avant projet détaillé des activités à mener « afin que les travaux puissent rapidement commencer ».

COMMUNIQUE-RADIO:

N°________ /13/CNPS/BAS/CC/SAGRH/BP

Du __________________

Le Chef de Centre de Prévoyance Sociale de Bassa invite Monsieur MBAFACK WAMBA Michel, matricule 5159, absent à son poste de travail depuis le 25 mars 2013 pour des raisons médicales à reprendre le service dans les 48 heures qui suivent la diffusion du présent communiqué muni des pièces justificatives de ladite période d’absence sous peine de sanctions disciplinaires.

Toute personne connaissant l’intéressé est priée de bien vouloir l’en informer.

 

Journée Internationale de la Croix-Rouge : 50eme anniversaire de la croix rouge au Cameroun

La croix rouge camerounaise a clôturé le 11 mai 2013, la semaine d’activités  marquant la célébration de la 66eme journée mondiale de la Croix Rouge  fond d’anniversaire et de bilan…

Après le 8 mai 2013,  date de célébration de la 66eme journée mondiale de la Croix- Rouge, le samedi 11 mai a été choisi par la société camerounaise de la Croix Rouge pour clôturer une semaine d’activités lancée à Mbouda, dans le département des Bamboutos, dans la région de l’Ouest, par le président de la Croix-Rouge Camerounaise (Crc), M. William Aurelien Eteki Mboumoua.

C’est par une marche sportive matinale et ouverte à tous que la cérémonie de clôture  de célébration du 150eme anniversaire du Comite International de la Croix Rouge (Cicr) placé sous le thème : « 150 ans d’action humanitaire » a démarré.

Pour rehausser l’image de la cérémonie, des volontaires sont venus d’ailleurs pour représenter  la Fédération Internationale de la Croix Rouge (Ficr), la Société nationale française de la Croix Rouge et la délégation régionale de la Croix Rouge en Afrique centrale.

CSPH : le nouveau DG installé

M. Paul Elung Che a été installé à son nouveau poste de directeur général, le 03 mai 2013, par le ministre du Commerce.

Le parvis de la Caisse de Stabilisation des Prix des Hydrocarbures (CSPH) a fait son plein  personnalités, de groupes de danses de danse, à l’occasion de la cérémonie d’installation du nouveau DG, M. Paul Elung Che nommé par le Décret n° 2013/ 118 du 26 avril 2013.  L’installation du remplaçant du directeur général (DG) sortant M. Ibrahim Talba Malla, nommé lui-même à la tête de la Société Nationale de Raffinerie (SONARA), qui a été présidée par le ministre du Commerce, M. Luc Magloire Mbarga Atangana, a drainé d’autres hautes personnalités à l’instar du ministre des Forêts et des Faunes, M. Philip Ngole Ngwese.

M. Paul Elung Che qui est le 4ème DG  de la CSPH a reçu les encouragements de son précurseur, le DG sortant. Ce dernier a tenu à préciser qu’il laisse une structure : « après deux décennies de direction, en bonne état de marche, techniquement au point, aux moyens financiers suffisants pour exécuter sa mission ». Le nouveau DG de la SONARA a par ailleurs demandé au personnel, qui n’a pas cessé tout au long de son speech de l’acclamer, « d’apporter la même collaboration sinon plus » à son remplaçant.

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